Le mieux pour traiter cette question est de laisser la parole à notre clients Ch L. du Laboratoire B qui s’est prêté au jeu spontanément, vous trouverez son retour d’expérience ci-dessous. Mais avant de rentrer dans le détail, il est important de souligner que la notion de partenariat correspond à l’association de deux parties pour réaliser un projet et/ou action pour atteindre des objectifs définis. Il implique une confiance et un respect mutuel entre les deux parties.
Sous-traiter est synonyme de partenariat
Pour être efficace, les parties doivent conjointement :
- Définir un cahier des charges
- Fixer les objectifs
- Décider les orientations à prendre
- Exécuter les taches clairement définies
- Suivre en permanence le bon déroulement du projet
Une dimension humaine
Au-delà des obligations contractuelles, la dimension humaine est au centre du partenariat. Le savoir-être participe ainsi à l’établissement de relations fiables, pérennes et fortes. Il permet de s’affranchir du lien client/fournisseur au bénéfice de l’atteinte des objectifs.
Bien entendu, l’expertise, la flexibilité et le sens du service sont les prérequis attendus d’un partenariat.
Le CDMO : le partenaire des laboratoires pharmaceutiques
Pour un Laboratoire, collaborer avec un CDMO permet de bénéficier d’économies d’échelle, d’atteindre des marchés locaux aux réglementations spécifiques et également d’avoir accès à des compétences et moyens de production dont il ne dispose pas et/ou plus en interne. De plus, la mutualisation des besoins de plusieurs laboratoires permet d’obtenir des gains de productivité.
Le passage de CMO à CDMO avec l’ajout du D apportant la dimension de développement permet également de travailler sur du long terme avec celui-ci.
En conclusion, nous pouvons dire que dans la grande majorité des cas, faire appel à un CDMO c’est établir un partenariat structurant et durable pour le Laboratoire.